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w słowach kluczowych:  langue française
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EN
The objective of this article is to analyze the use of love nicknames for women and men in the French-speaking context, especially in France and Quebec. From the lexicographic devices and resources of the Web, we have developed a corpus of words which we have analyzed in more detail with the tools of corpus linguistics, namely on the platform Néoveille and in the corpora Araneum allowing to measure the frequencies of employment in the two distinct contexts, French (from France) and Québécois French. This article has a threefold purpose. First, we will try to characterize and classify the affectionate nicknames. Second, we will present all of the words collected for our analysis and we will comment on them according to the processes of their formation or their belonging to a specified domain. Finally, we will verify the frequency of use of a sample of words chosen from the linguistic corpus mentioned above and we will notably compare the two contexts of our research to be able to decide on their similarities or differences.
FR
L’objectif de cette communication est d’analyser la productivité et l’usage des surnoms d’amour pour femmes et pour hommes dans le contexte francophone, notamment en France et au Québec. À partir des dispositifs lexicographiques et des ressources de la Toile, nous avons élaboré un corpus de mots que nous analysons plus en détail avec des outils de la linguistique de corpus, à savoir sur la plateforme Néoveille et dans les corpus slovaques Aranea permettant de mesurer les fréquences d’emploi dans les deux contextes distincts français et québécois. Premièrement, nous allons caractériser et classifier, en général, les surnoms affectifs pour femmes et pour hommes. Deuxièmement, nous allons présenter les mots recueillis pour notre analyse et nous allons les commenter en fonction des processus de leur formation ou de leur appartenance à un domaine déterminé. Finalement, nous allons vérifier la fréquence d’emploi et la productivité d’un échantillon de mots choisi dans des corpus linguistiques choisis, et nous allons comparer les deux contextes de notre recherche pour pouvoir nous prononcer sur leurs ressemblances ou différences.
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Content available Le tabou dans la langue culinaire ?
100%
EN
The article presents an overview of Polish and French culinary terms related to offal that can be considered as euphemisms. These are the dishes prepared from organ meats, specifically the liver, tongue, kidneys, lungs etc. In both languages one can observe the use of diminutives: fr. cervelle, pl. móżdżek from mózg ‘brain’, pl. żeberka from żebra ‘ribs’. Different names are sometimes used for the dish and anatomical part: pl. ozór/ozorek ‘tongue’, pl. cynaderki, fr. rognons - reins ‘kidney’. Avoiding the use of a proper name (body part) to describe a dish is an euphemism, as if the name of an animal organ prepared for consumption should not be used (in spite of the names such as French cuisse de poulet (pl. kurze udko ‘chicken leg’), tête de veau (pl. główka cielęca ‘veal head’, diminutives in Polish). Aren’t the strategies mentioned used in order not to reveal anatomical analogies and the identity of human and animal organ names?
FR
L’article contient une présentation des termes culinaires français et polonais qui peuvent être considérés comme des euphémismes. Il s’agit des noms des plats préparés à partir des abats (foie, langue, testicules, coeur, etc.) donc des parties « non nobles » des animaux comestibles. Dans les deux langues, mais surtout en polonais, on observe l’emploi des diminutifs formés à partir des noms anatomiques : fr. cervelle, pl. móżdżek de mózg ‘cerveau’, pl. żeberka de żebra ‘côtes’, etc. Parfois, un nom différent de celui de l’organe est utilisé pour désigner le plat : pl. ozór/ozorek ‘langue’, pl. cynaderki à côté de nerki, fr. rognons, à côté de reins, etc. Le fait d’éviter le nom propre de l’organe pour désigner un plat relève de l’euphémisme, comme si le nom de l’organe de l’animal préparé à la consommation ne devait pas être utilisé (à côté, pourtant, de cuisse de poulet ou tête de veau, en polonais avec des diminutifs : kurze udko, główka cielęca). Est-ce pour ne pas mettre en évidence les analogies anatomiques et l’identité des noms des organes de l’homme et de l’animal que nous recourons dans nos langues aux stratégies mentionnées ci-dessus ?
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Content available remote Les mots kotylion et biuwar en polonais d’aujourd’hui
89%
FR
Les deux mots d’origine française démontrent, en polonais d’aujourd’hui, un sens nouveau, éloigné de celui qui leur était propre au moment du passage en polonais (début du XIXe pour cotillon et début du XXe pour buvard). L’article a pour but de présenter, à travers l’histoire des deux mots, en polonais et en français, l’histoire de leurs référents. L’évolution sémantique de biuwar et de kotylion permet de saisir le changement dans l’emploi des deux mots, conditionné par la réalité extralinguistique. On montre aussi les rapports entre l’usage français et l’appropriation des étymons par l’emprunt par la langue polonaise. L’exemplification, une de plus, du phénomène de “faux amis” est alors donnée.
EN
The two words of French origin: biuwar (‘tissue paper’, since the beginning of the 20th century; fr. buvard) and kotylion (‘cotillion’, since the beginning of 19th century; fr. cotillion) have a different meaning in Polish than in the language they were borrowed from. The paper presents the history of the two words in French and in Polish as well as the history of their referents. Semantic evolution of the words biuwar and kotylion allows capturing a change in their use, subject to extralinguistic conditions. Relationships with the use of the words in French and references to French etymons in Polish are also indicated. The history of the two words in Polish is yet another example of a well-known phenomenon of “faux-amis”.
EN
The text is a presentation of the presence of the words amour/miłość (Eng. love) and aimer/kochać (Eng. to love) in French and Polish, taking into account the differences in semantics and use in both languages. The semantic relationship of the words amour/miłość and amitié/przyjaźń (Eng. friendship) is indicated, as well as the difference in the degree of semantic intensity between these words. Their derivative phrases and phraseological expressions in which they appear are also presented. The richness of the synonyms for the French word aimer is noted as well as the difference in the meaning of Polish words kochać and lubić (Eng. to like) and their French counterparts aimer and aimer bien/beaucoup with the use of strengthening adverbs, which paradoxically reduce the intensity of the emotional meaning of the verb aimer ‘to love’ to a degree corresponding to the meaning of Polish lubić in specific contexts. Although the words amour and aimer belong to language universals, their meanings and scope of use turn out to be different in both languages.
FR
Ce texte est une présentation du fonctionnement des mots amour/miłość i aimer/kochać en français et en polonais, afin d’índiquer les différences de sens et d’emploi dans les deux langues. On compare des relations sémantiques entre les mots amour/miłość et amitié/przyjaźń, ainsi que leur expressivité. On présente aussi les dérivés, les phraséologismes contenant ces mots. Il est à constater une grande richesse synonymique du français aimer, ainsi qu’une différence sémantique entre les verbes polonais kochać et lubić et leurs équivalents français aimer et aimer bien/beaucoup renforcés par des adverbes d’intensité qui, paradoxalement, réduisent le sens émotionnel du verbe aimer ‘aimer d’amour’ au degré correspondant à lubić ‘aimer bien’ dans certains contextes. Bien que les mots amour et aimer appartiennent aux universaux du langage, leurs champs sémantiques diffèrent dans les deux langues.
FR
Le connecteur mais au début d’une réplique dans le dialogue et ses équivalents polonais sont considérés comme des marqueurs de l’attitude énonciative (Anscombre 2009). L’analyse a montré qu’en polonais l’opposition est souvent intensifiée et le connecteur ale/ ależ est facultatif. L’opposition peut aussi être affaiblie, l’interprétation dépend des expressions telles que lecz, co tam, co ty, etc. Dans la traduction du polonais en français, presque systématiquement mais est ajouté au début de la réplique, ce qui aussi montre des contraintes discursives spécifiques pour les deux langues. L’approche contrastive a démontré que l’approche de mais comme marqueur de l’attitude énonciative d’opposition permet d’expliquer d’une manière plus générale et systématique le rôle de ses équivalents polonais, qui dans le texte, réalisent divers aspects de ses fonctions sémantico-pragmatiques.
EN
The French connective mais at the beginning of a reply in a dialogue and its Polish counterpart are regarded as indicating enunciative attitude (attitude énonciative, Anscombre 2009). Analysis shows that in Polish texts an opposed position is frequently strengthened by the addition of several words and the connective ale/ależ at the beginning of a reply is then facultative, or it can be weaker and then other markers (lecz, co tam, co ty, etc.) are decisive for understanding the text. In translating into French, translators often add the word mais at the beginning of a reply. Contrastive analysis showed that the use of mais is much more systematic and general than the Polish words which give varying degrees of complexity at the semantic-pragmatic level.
PL
Francuski konektor mais na początku repliki w dialogu i jego polskie odpowiedniki ukazane są jako wyznaczniki postawy wypowiadaniowej (jak proponuje to Anscombre 2009). Analiza wykazała, że w języku polskim często opozycję intensyfikują rozmaite wyrażenia, a konektor ale/ależ jest na początku repliki fakultatywny. Opozycja może być też osłabiona, interpretacja zależy zaś od wyrażeń takich jak lecz, co tam, co ty itp. W tłumaczeniu z języka polskiego na francuski często mais jest wprowadzane na początku repliki. Ujęcie kontrastywne wykazało że ujęcie mais jako wyznacznika postawy wypowiadaniowej pozwala wyjaśnić w sposób bardziej ogólny i systematyczny rolę ekwiwalentów polskich, które w tekście oddają rozmaite aspekty jego funkcji semantyczno-pragmatycznych.
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