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Certains principes méthodologiques du Problème „Jésus der Geschichte und Christus des Glaubens” constituent le thème principal de cette étude. Après quelques remarques d’introduction sur l’évangiles comme source unique de tout ce que nous pouvons savoir de Jésus, apres avoir discemé trois périodes dans le temps de 1’activité terrestre de Jésus enseignant par ses paroles et par ses actes, on constate plusieures deformations ainsi des paroles que des actes du Christ Sauveur. On dresse, en fin, une liste des regles qui peuvent aider à degarer les ipsissima verba et les ureigene Taten du Signeur.
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Cet article a pour but de démontrer que les motifs de la récompense et du châtiment futur ne sont pas uniques et ne jouent même pas un rôle principal dans la parénèse de saint Paul. C’est ainsi que dans les épîtres aux Thessaloniciens le motif de la rémunération n’existe pas du tout et celui du châtiment futur ne revient que dans forme de l’idée qu’on se fait de Dieu: Distributeur de la justice. La nature du châtiment n’y est pas précisée et on ne trouve même pas une allusion quelconque à la poena damni. Etant donné le caractère purement eschatologique des Epitres aux Thessaloniciens on s’étonne que le motif de la peine éternelle apparaisse si rarement das ces écrits. Dans les Grandes Epîtres, les textes concemant le thème de la rétribution peuvent être partagés en deux groupes: le premier est constitué par ceux qui touchent a l’idée du châtiment terrestre tandis que dans le deuxième se trouvent ceux qui parlent de la rémunération ou du châtiment éternel. II faut reconnaître que les motifs de la rétribution sont tout spécialement développés dans les Grandes Epîtres et parmi elles la première aux Corinthiens occupe la première place. Il est vrai que la crainte du châtiment prédomine, mais le thème de la rémunération n’y est pas négligé. La nature du châtiment ainsi que de la récompense est bien précisée: le châtiment consistera non seulement en ce que le pécheur sera soumis aux souffrances, mais aussi en ce qu’il sera repoussé par Dieu; il passera par les épreuves du feu et sera même dans une certaine mesure détruit par le feu. Les peines terrestres sous forme des maladies et faiblesses physiques viennent de Dieu, et l’apôrte en personne sera aussi celui qui punira parfois les pécheurs. Dans les Epîtres de la Captivité les motifs de la récompense et du châtiment sont rares. Ils ne sont même pas abordés dans les Epitres aux Colossiens et aux Philippiens. Dans l’Epître aux Ephésiens le motif de la rémunération domine. On a donc le droit de constater qu’au temps de la rédaction des Epîtres de la Captivité d’autres motifs étaient considérés comme plus efficaces par saint Paul. La recherche des motifs de la récompense et du châtiment futur dans les Epîtres Pastorales ne donne pas de grands résultats: le thème du châtiment ultérieur n’y est pas mentionné, 1’idée de la rémunération ne revient que quelques fois comme motif. C’est aussi les motifs christologiques, comme dans les Epîtres de la Captivité, qui se trouvent, ici également sur le premier plan. Bref: les motifs de la rémunération future sont déjà à noter dans les Epîtres aux Thessaloniciens, mais on les ren contre le plus souvent dans les Epîtres aux Corinthiens. Ils disparaissent peu à peu dans les Epîtres ultérieures, pour faire place à des motifs plus élevés ce qui s’harmonise bien avec la ligne générale du développement et du caractère spécifiquement sotériologique de la théologie paulinienne.
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L’article se compose de trois parties: I. Le contexte du passage Rom. 8, 19-27; II. L’exégèse du texte Rom. 8, 19-27; III. Les réflexions finales et la traduction paraphrasée du texte. Pour ce qui est du contexte, il faut retenir les liens de notre texte avec les chapitres précédents et tout spécialement avec le chapitre V qui annonce le thème du passage Rom. 8, 19-27. Dans le texte même on peut distinguer trois thèmes: 1. L’attente par la création de la révélation des fils de Dieu; 2. L’attente par les hommes de la rédemption du corps; 3. Les gémissements qu’on ne peut pas exprimer par les paroles humaines ou l’intercession de 1’Esprit Saint. La signification de la pensée authentique de l’apôtre dépend du sens dans lequel sont employés par saint Paul des termes comme: κτισις, ο υποταξων, ματαιοτης, φθορα, απαρχη etc. Le mot κτισις, d’après toute vraisemblance, signifie toute créature animée et inanimée, excepté l’homme. Une telle créature, personnifiée de façon plastique, attend avec une grande impatience la révélation future du Fils. L’épiphanie eschatologique du Christ est conçue aussi comme une révélation de tous les enfants de Dieu. La vanité (ματαιοτης) à laquelle est soumise la créature possède un sens moral. L’homme est celui qui soumet la créature aux lois de la vanité. La libération de la créature consistera en son affranchissement de la vanité. L’avenir de la créature, vue du côté positif, se traduira par la participation de tout ce qui est creé à la liberté et à la gloiredes enfants de Dieu. Une part toute spéciale dans la future gloire de toute la création a été réservée au corps humain dont l’homme attend la rédemption. Ce désir de l’homme, de soi tellement faible, est accompagné par 1’Esprit Saint qui intercède pour nous. Dans le problème de la „sotériologie cosmique” de S. Paul, il s’agit surtout de la rédemption du corps humain. Celui-ci ne peut pas être considéré comme une prison de l’âme. II constitue une partie de l’homme, destinée à être transformée en „corps spirituel”. Quant aux sources littéraires du texte Rom. 8, 19-27 on admet, outre les allusions bien claires au livre de la Genèse, quelques influences de la littérature apocalyptique juive.
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Dans le Nouveau Testament sont assez nombreux les textes dont le thème constituent les exhortations morales à cultiver la vertu de la crainte de Dieu. Cette vertu quelquefois reste en relation avec le courage apostolique ou bien avec la grandeur de l’apostolat; autrefois l’idée de la crainte de Dieu appartient au thème des dangers apostoliques et dans deux textes elle est presque synonyme de la jalousie de 1’apôtre. Cependant la plupart des passages avec la formule „craignants Dieu” se réfèrent non pas aux apôtres mais à tous les fidèles. II y est question de la crainte du jugement de Dieu et des peines éternelles. Mais la formule „craignants Dieu” sert surtout à décrir 1’attitude de 1’homme envers Dieu. Cette formule, absente dans plusieurs livres de 1’Ancien Testament, se trouvent chez les autres écrivains inspirés très fréquemment. Les Psaumes et le livre de Sirach y tiennent la première place. Par l’expression „craignants Dieu” on designait dans L’Ancien Testament chaque Israëlite s’il observait toutes les prescriptions de Loi. Quelquefois „montrer la crainte à Dieu” signifie „accomplir certains gestes liturgiques”. Dans le Nouveau Testament cependant, et tout spécialement dans les Actes des Apôtres, les craignants Dieu, païens d’origine, forment une classe religieuse distincte et approchée en une certaine façon au christianisme. Sans aucun doute on ne peul pas les identifier avec les prosélytes, qui appartenaient formellement au judaïsme, bien que non pas à cause de leur naissance, mais par la conversion à la religion juive. Malgré ces différences, il est facile de constater, qu’il s’agit dans l’expression „craignants Dieu” d’une conception spéciale de la sainteté, basée sur le septiment de crainte qui est parfois très proche à 1’amour.
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L’article est consacré à l’analyse du seul chapitre cinq de la Constitution Dogmatique sur la Révélation. Cette analyse permet de mettre en valeur les points suivants: 1) Le document souligne souvent et de façon décisive l’historicité des Evangiles mais il laisse la possibilité de la comprendre dans un sens assez large; 2) Dans la formation de la tradition évangélique les éléments suivants, d’après le document, ont joué un rôle très important: les besoins religieux de la communauté primitive, le niveau intellectuel des fidèles et les idées maîtresses de chaque évangéliste; 3) Le document permet donc de profiter de toutes les données positives de la Formgeschichte tout en signalant les dangers que comporte une application immodérée de cette méthode; 4) On constate aussi que le salut des hommes doit être attribué non seulement à la passion et à la mort du Christ mais aussi à sa résurrection, à son ascension et à sa session à la droite du Père.
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II s’agit dans cette étude de faire ressortir la position tout à fait exceptionnelle de la Bible dans les écrits des Peres de l’Eglise. La théologie patristique n’est, en effet, qu’un spécifique exposé du contenu de la Bible. Outre la théologie les Pères de l’Eglise cultivaient disciplines correspondant aux correspondant aux différentes branches des études bibliques d’aujourd’hui. C’est ainsi qu’Origène, par exemple, est considéré comme père de la critique textuelle et beaucoup d’autres ont contribué sensiblement à l’herméneutique biblique. L a tàche principale consistait cependant à trouver le sens exact de la parole divine. C’est dans ce but que l’on traduisait de façon bien variée la Bible; que l’on menait les études sur l’harmonie de deux Testaments, sur les allégories et sur la typologie. Les écoles catéchético-exégétiques fleurissant à A lexandrie, à Antioche et à Césarée donnent un excellent témoignage du niveau des études bibliques aux temps des Pères de l’Eglise. Les sciences bibliques modernes doivent beaucoup à la science biblique patristique. On le voit tout d’abord dans la critique textuelle. La Bible, citée par les Pères, révèle, en effet, les premières etapes, peu connues, de l’histoire du texte biblique. Les interprétations, même les plus récentes, des certains passages bibliques s’appuient bien de fois sur l’exégèse patristique. La théologie biblique, en fin, doit beaucoup, elle aussi, à la typologie et à l’exégèse allégorique des Peres.
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Parmi les différents points de vue que l’on peut adopter à 1’égard de la parénèse neo-testamentaire, il en est un qui concerne 1’étude des thèmes constituant les motifs de la parénèse. Or de tous les motifs invoqués celui qui prend appui sur notre rédemption acquise dans le Christ est certainement celui qui mérite le plus de retenir l’attention. Pour cette raison on parle souvent de parénèse sotériologique. On trouve ce motif formulé pour la première fois dans la catéchèse de Jean-Baptise, puis on le rencontre dans l’enseignement de Jésus tel qu’il est consigné actuellement chez les Synoptiques. Dans les discours des apôtres Pierre et Paul rédigés par Luc pour le livre des Actes des Apôtres le thème de la passion, de la mort et de la résurrection est invoqué comme motif parénétique. Mais c’est dans les épîtres de saint Paul que la motivation soteriologique est de loin la plus fréquente. Les grandes Epîtres et les Epîtres de la captivité occupent la première place en ce domaine, car la passion, la mort et la résurrection sont des événements dont les conséquences pratiques doivent être tirées par le chrétien pour sa vie quotidienne. Mais l’essentiel tient à ce que ces événements ont crée en chaque baptisé une réalité nouvelle grâce à laquelle il devient capable d’accomplir les préceptes de Dieu. Si les hommes peuvent s’aimer les uns les autres, c’est à cause de l’amour du Christ. Ignorer ou bien répudier les exhortations basées sur le rappel de la mort du Christ, c’est permettre que soit gaspillé le sang versé par le Christ. Dans les Epîtres de la captivité les textes sotériologiques n’ont de rôle parénétique que si on attribue à la particule καθως un sens causatif et non pas comparatif. Dans les Epîtres pastorales les motifs sotériologiques ne disparaissent pas complètement, mais on les rencontre de moins en moins. Ils sont également très rares dans les Ecrits johanniques; dans les autres livres du Nouveau Testament ils se trouvent avec une fréquence plus grande dans les Epîtres de Pierre et dans celles de Paul, compte tenu des remarques faites précédemment. Bien qu’on les découvre dans diverses exhortations parénétiques, les motifs sotériologiques se rencontrent presque toujours là où les chrétiens sont exhortés à pratiquer l’amour mutuel. Dans le processus d’évolution des motifs parénétiques saint Paul a joué un rôle tout à fait spécial. Dans les épîtres pauliniennes la plupart des motifs parénétiques font appel au motif de l’amour de Dieu qui nous a été révélé dans le Christ mort et ressuscité pour nous. C’est ainsi que la christologie ou, plus précisément, la perspective sotériologique de la théologie paulinienne fait sentir son influence jusque dans le domaine de la parénèse.
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Content available Problem Pawłowego autorstwa 2 Tes
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Il s’agit dans cette étude de l’histoire du Problème de l’authenticité paulinienne de 2 Thess. Puisque cette authenticité est rejetée presque unanimement par les exégètes protestants, leurs arguments sont étudies séparément de ceux des exégètes catholiques, qui - en grande majorité et jusqu’à nos temps - défendaient l’authenticité paulinienne de 2 Thess. L’analyse critique montre la fragilité des plusieurs arguments dont se servent les exégètes non-catholiques, s’efforgant de prouver l’inauthenticité de 2 Thess. Quant aux exégètes catholiques, le prof. W. Trilling s’est mérité le plus d’attention. Quelques principes de cette nouvelle prise de position qu’il représente justement, semblent être très solides, mais il y en a aussi dans son raisonnement plusieurs éléments assez faibles. On est forcé de rapprocher à l’auteur un certain apriorisme. Il serait done plus raisonnable, peut-être, de garder comme encore valable l’opinion traditionnelle, sauf - et ici est le mérite de W. Trilling - que l’épitre a été rédigée non pas immédiatement après 1 Thess., mais beaucoup plus tard, peut-être, à la fin du séjour de saint Paul à Ephèse au cours de son troisième voyage missionnaire.
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On rappèlle dans cet étude certaines polémiques précedant la promulgation du decret du Vatic. I sur la possibilité de la connaissance naturelle de Dieu. La negation de cette possibilité ne peut être justifiée ni par la théologie de saint Paul ni par les opinions des Pères de l’Eglise. La difticulté signalée par certains participants du Concil - ainsi que par quelques éxégetes provient de ce qu’on ne se rend compt, parfois, du caractère spécifique de la notion de la connaissance de Dieu en Rm 1, 18-33.
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Content available Sakramentalna interpretacja 2 Kor 5, 11–21?
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Content available Gal 2, 20 w soteriologii św. Pawła
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